Introduction
Vous pensiez que 2020 avait révélé son lot de surprises... Mais 2021 n’a pas fini de vous surprendre. Historiquement, les banques de détail n’ont jamais facturé le moindre centime pour des services basiques en contrepartie de la non rémunération des comptes courants de leurs clients. De fil en aiguille, de plus en plus d’établissements bancaires se sont mis en tête de facturer légèrement certaines opérations du quotidien comme le retrait de billet dans des distributeurs concurrents ou la tenue de certains comptes. Dorénavant, la BNP Paribas, pour ne pas les citer, instituera le principe du conseiller clientèle payant. Autrement dit, il faudra ouvrir son porte-monnaie pour avoir accès à un service dédié par son conseiller bancaire.
Une mise en place progressive
La BNP Paribas entend proposer deux offres à ses clients : une formule dite « affinité » qui permettra aux clients d’obtenir un accompagnement personnalisé pour leurs différents objectifs patrimoniaux ; que ce soit pour des placements d’épargne ou des investissements immobiliers. L’autre formule dite « proximité » sera tout simplement le fonctionnement actuel, à savoir la gratuité d’un conseiller sans affectation particulière. A cet effet, ce processus en est phase de test depuis juin 2019 dans plus d’une trentaine d’agence en France. Le groupe estime que cette facturation aura vocation à proposer les services de conseillers mieux formés et donc de répondre de façon plus compétente aux clients intéressés par cette démarche. A ce jour, ce service est facturé à 12 euros par mois et un grand nombre de clients y ont déjà adhéré. C’est pourquoi, BNP Paribas souhaite généraliser progressivement ce mode de facturation dans tout le réseau d’ici fin 2022. Plusieurs raisons sont à mettre en lumière face à cette décision impromptue et dans un contexte de grande concurrence. Premièrement, la politique des taux de crédit historiquement bas ne contribue plus à générer des marges suffisantes pour les banques. Deuxièmement, les agences se digitalisent de plus en plus et les postes de conseillers sont supprimés, cela permettrait de garder des postes de conseiller avec de meilleures rémunérations.
Un modèle bancaire à bout de souffle
Le modèle d’agences bancaires physiques que nous avons toujours connu est en train de vivre ses derniers moments… En effet, l’arrivée d’établissements bancaires 100% digitalisés et avec une force de frappe importante tant dans la modernité que dans la réduction de frais pour les clients a mis un coup aux agences classiques. A fortiori, les banques de détail ne cessent d’optimiser les coûts pour sortir des marges satisfaisantes. Pour autant, il est nécessaire de garder un juste milieu entre l’agence présente à tous les coins de rues et les banques 100% en ligne.
En outre, la contraction de ces deux modèles physique et digital a permis de concevoir, il y a plus de 10 ans, Netinvestissement pour répondre aux besoins de nos clients sans aucun surcoût. Ne perdez pas une minute de plus, contactez nos conseillers directement, nous sommes à votre disposition par tous les moyens de communications possibles !
A propos de l'auteur
Stéphane van Huffel, Conseiller en gestion de patrimoine
Avis des clients de Stéphane :
Stéphane van Huffel débute sa carrière au sein de la branche d’investissement immobilier d'un grand promoteur français dans les fonctions opérationnelles et commerciales. Il évolue ensuite, toujours au sein du même groupe, vers un poste d'encadrement puis de directeur régional où il est chargé d'animer et d'encadrer cinq cabinets en France.
Son expérience confirmée de la fiscalité et de l'immobilier l'amène à créer son propre cabinet : Wast & Van en 2005 puis fonde netinvestissement avec son associé Karl Toussaint du Wast. Il est également co-fondateur du tour de France de l’immobilier et du baromètre des placements. Stéphane intervient régulièrement en tant qu’expert auprès de nombreux média français.
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"Très bon contact avec mon conseiller et des propositions de placements en phase avec ma stratégie d'investissement ainsi qu'au niveau de ma prise de risque acceptable. L'avenir me dira si les propositions étaient judicieuses"