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5 astuces pour bien investir en assurance-vie

Placement Guides Assurance-vie

L’article « 5 astuces pour bien investir en assurance-vie » a été rédigé par un professionnel expérimenté en gestion de patrimoine. Netinvestissement apporte une attention toute particulière à la qualité, l’exactitude et l’objectivité des informations communiquées.

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Ecrit par : Stéphane van Huffel

Conseiller en gestion de patrimoine

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Il est difficile aujourd’hui de créer un guide financier à destination des particuliers sur le thème de l’assurance-vie tant le sujet a été traité et retraité ces dernières années. En effet, l’assurance-vie est et reste le placement privilégié des Français avec un encours investi évalué à 1 850 milliards d’euros fin 2022.

Comment alors aborder de façon instructive et optimisée ce placement et quelles sont les astuces encore méconnues mais efficaces à dénicher pour améliorer votre investissement. Ce guide a donc pour but de partager avec vous des astuces davantage mal connues que méconnues mais qui vous permettront d’utiliser votre contrat d’assurance-vie de la meilleure façon possible.

Si vous désirez plus d’informations sur l'investissement en assurance-vie, nous vous invitons à contacter un conseiller Netinvestissement en cliquant ici.

Qu'est-ce qu'une assurance-vie ?

L'assurance-vie est un produit financier qui offre la possibilité à une personne de placer de l'argent en vue de le faire fructifier ou encore de le transmettre à un bénéficiaire lorsqu'un événement lié à l'assuré se produit, à savoir son décès ou sa survie. Pendant toute la durée de vie du contrat, ce type de placement vous permettra de générer des intérêts sur le montant investi.

Si le souscripteur reste en vie jusqu'à la fin du contrat, il conserve le contrôle des fonds et peut récupérer librement le capital et les intérêts accumulés.

En revanche, en cas de décès du souscripteur, le contrat est résilié et le capital ainsi que les intérêts sont transmis au(x) bénéficiaire(s) désigné(s) par le souscripteur. Ces bénéficiaires peuvent être des enfants, un conjoint, un concubin, des frères et sœurs, des associations etc.

De nos jours, l'assurance-vie est principalement utilisée comme un moyen d'épargne en profitant des avantages fiscaux liés à ce produit financier, ainsi que des avantages en termes de transmission du patrimoine. Les contrats d'assurance-vie sont souvent souscrits dans le but de préparer sa retraite, constituer un capital à long terme ou anticiper un projet immobilier.

Il est cependant important de faire la distinction entre l'assurance décès et l'assurance vie. Dans un contrat d'assurance décès, l'assureur s'engage à verser un capital ou une rente prédéterminée aux bénéficiaires désignés par l'assuré en cas de décès de ce dernier avant une certaine date. L'assurance décès est généralement souscrite pour permettre à la famille de rembourser un emprunt ou de financer les études des enfants en cas de décès inopiné de l'assuré.

Nos 5 conseils pour bien investir dans une assurance vie

N'ayez pas peur de la liquidité

En tout premier lieu, il est primordial de savoir qu’un contrat d’assurance-vie est avant tout une enveloppe d’optimisation fiscale. Cela veut dire que votre contrat n’est ABSOLUMENT pas figé et que votre argent n’est donc en AUCUN CAS bloqué.

Il faut donc se sortir de la tête l’idée d’une durée minimum d’engagement de 8 ans et se méfier des professionnels qui vous diraient le contraire. Ce sont les éléments en fin de compte les plus mal connus sur le contrat d’assurance-vie, et dont beaucoup de conseillers se servent pour décourager les investisseurs de choisir ce type de support.

En effet, un rachat sur votre contrat d’assurance-vie ne peut avoir en fait que deux contraintes :

  • La fiscalité : impôt sur le revenu et prélèvements sociaux. Pour rappel, le prélèvement forfaitaire (IR) est de 35% de 0 à 4 ans + 17,2% de prélèvements sociaux, puis de 15% de 4 à 8 ans + 17,2% de prélèvements sociaux et enfin de 7,5% après 8 ans + 17,2% de prélèvements sociaux avec la possibilité de profiter d’abattements qui permettent souvent d’être peu ou pas imposé sur le revenu après 8 ans (mais il reste toujours les 17,2% de prélèvements sociaux soyez rassurés).
  • Les frais de rachat prévus dès la souscription par les conditions générales ou particulières de votre contrat.

Cela veut dire donc qu’en cas de besoin d’argent, à n’importe quel moment de la durée de vie de votre contrat, l’impact fiscal ne se fera que sur les plus-values et donc les gains que vous aurez engrangés.

Quant aux frais, la concurrence sur ce type de produits aujourd’hui vous permet, si vous êtes vigilant, d’éviter un contrat qui vous pénaliserait en cas de sortie anticipée (sauf cas particulier où vous profiteriez d’une contrepartie).

Ne vous laissez donc plus impressionner par le côté « immobilisant » de l’assurance-vie. La liquidité du contrat est parfaite et totale avec un versement des sommes rachetées sur votre compte courant entre 8 et 15 jours maximum.

Les avances

La grande majorité des contrats d’assurance-vie (en tous cas les bons) proposent dans leurs conditions générales l’option des « avances ». C’est une option mal connue là aussi et surtout mal perçue par les souscripteurs.

En effet, cette option est souvent considérée comme un recours de dernière chance en cas de besoin de rachat sur son contrat (dépense urgente etc.). Mais cela peut être une grosse erreur car cette possibilité d’obtenir une avance sur son propre contrat peut être très intéressante.

Pour faire simple, vous placez 20 000 € sur une contrat d’assurance-vie avec un profil équilibré qui génère en moyenne 4% de rendement sur le contrat. Vous avez besoin de 5 000 € mais votre contrat n’a que 3 ans et cela vous ennui de supporter la fiscalité.

Un calcul est alors à faire : l’assureur va baser le « coût » de l’avance comme un prêt que vous vous feriez à vous-même, ce qui implique un calcul de taux sur les mêmes bases que tous les taux financiers actuels. Cela veut dire qu’en moyenne vous pouvez obtenir actuellement des taux annualisés sur avance inférieurs à 3%. Le calcul est donc facile à intégrer : non seulement vous ne subirez pas de fiscalité sur un rachat, mais le coût de l’avance sera inférieur au rendement du contrat puisque le petit plus, c’est que le contrat continuera de se valoriser sur la base de 20 000 €.

Attention, l’avance a une durée dans le temps ce qui vous impose de reverser la somme à terme (souvent 3 ans maximum).

Les nouveaux fonds en euro

L’un des sujets importants de réflexion lorsque l’on aborde l’assurance-vie est le fameux fonds en euro qui représente 85 à 90% de la collecte française en assurance-vie. Ce succès est donc dû à la garantie du capital que propose contractuellement l’assureur qui gère le contrat mais également pendant longtemps au rendement assez attractif offert. Mais puisque ce rendement depuis 5 ans ne fait que s’écrouler, bien qu’en 2022 ces rendements aient augmenté dû à l’inflation, que faire pour maintenir le meilleur couple rendement-risque ?

Internet pour cela a offert de nouvelles opportunités en mettant en lumière l’existence de nouveaux fonds en euro, dont les mécanismes différent des fonds en euro classiques mais qui leur permettent, tout en maintenant la garantie en capital, d’afficher des performances 50% supérieures au marché.

Il n’y a donc pas vraiment d’astuce mais soyez curieux et exigeant lorsque vous vous intéressez à l’assurance-vie. Ne vous contentez pas du discours habituel de vos référents (banquier, assureur local) et n’hésitez pas à chercher de nouvelles pistes. Vous serez surpris de voir que certains opérateurs, grands groupes ou filiales de grands groupes, ont créé de nouveaux supports à sous-jacents immobiliers pour les uns, ou à gestion dynamique pour les autres, qui peuvent offrir jusqu’à 4% de rendement avec un niveau de risque bien maitrisé.

Les fonds dits « structurés »

Une astuce méconnue et pourtant vraiment dans l’air du temps est la possibilité d’intégrer dans son contrat d’assurance-vie multi-supports des fonds dits « structurés » comme n’importe quelle Unité de Compte.

En effet, au-delà de la possibilité de profiter de nouveaux fonds en euros pour optimiser son rendement, vous avez accès grâce à l’assurance-vie à une palette large et diversifiée de fonds investis en actions, obligations, monétaire ou matières premières par exemple. Ces fonds sont appelés des Unités de Compte (UC). Leur capital initial n’est pas garanti mais leur performance dans le temps est souvent bien plus élevée que celles des fonds en euro.

Puisque beaucoup d’investisseur sont frileux à l’idée d’entrer « en bourse » donc d’investir sur des Unités de Compte, utiliser des fonds « structurés » peut être une étape intermédiaire intéressante. Cela demande simplement de se pencher sérieusement sur le produit pour bien comprendre le mécanisme, son rendement, la liquidité et son risque maximum. Cette méthodologie, si elle est respectée et que vous sélectionnez un opérateur sérieux et reconnu, ne peut que vous permettre d’obtenir des rendements attractifs. Pas de panique, nos chefs de projet sont là pour ça et pour vous !

Par exemple, vous pouvez actuellement investir dans un produit de ce type qui est construit sur l’idée de suivre la performance de l’indice Euro Stoxx 50 (qui est le CAC 40 au niveau européen soit les 50 plus grosses valeurs capitalistiques de la zone euro). Si à date anniversaire de votre investissement l’indice n’a pas baissé ou a augmenté vous touchez un rendement de 4,25% et récupérez votre capital pour le réinvestir. Si l’indice n’a pas perdu plus de 39%, vous touchez un rendement de 4,25% mais votre capital reste investi. Au-delà de 39% de baisse, vous ne touchez aucune rémunération mais votre capital est garanti jusqu’à une perte de 61%. Autant dire, une statistique quasi nulle, avec si cela arrivait un scenario financier international si compliqué que même les fonds en euro seraient en danger (capacité de liquidité).

Il va de soi qu’il ne faut jamais concentrer plus de 20% de son investissement sur ce type de produit et qu’il doit être en adéquation avec votre profil investisseur, mais à risque factuel équivalent, la « prime de risque » est 3 fois supérieure à la rémunération du fonds en euro. Cela vaut vraiment la peine de s’y pencher mais si vous avez une perspective d’investissement plutôt à long terme (8-10 ans).

N'oubliez pas les SCPI

Dernière astuce mal connue du contrat d’assurance-vie, vous pouvez sur certains contrats intégrer des parts de SCPI de rendement comme Unité de Compte.

La SCPI ou Société Civile de Placement Immobilier acquiert et gère un parc immobilier professionnel fait de bureaux, de commerce, de centres commerciaux et de murs de supermarchés.

Ce marché est très porteur actuellement avec des rendements moyens de 4,53%, hors revalorisation de la valeur de la part (il s’agit de rendement locatif pour caricaturer). Le défaut de la SCPI réside dans le fait que ce rendement très attractif est imposable comme du revenu foncier et donc subit une forte fiscalité.

En intégrant les parts de SCPI comme Unité de Compte dans un contrat d’assurance-vie vous bénéficiez donc de la possibilité de « laisser » vos gains à l’intérieur de l’enveloppe fiscale assurance-vie et ne subissez donc qu’une éventuelle fiscalité financière en cas de rachat sur le contrat (vu ci-dessus). De plus, c’est l’assureur qui se porte acquéreur des parts et donc vous assure la liquidité quotidienne du support.

En ces temps troublés sur les marchés et face là encore au rendement de moins en moins attrayant des fonds en euro, la possibilité d’obtenir un rendement facial de 4,53% est inespéré avec une sécurisation du sous-jacent(immobilier professionnel) importante. Attention, il y a souvent de lourds frais à la souscription et parfois des pénalités en cas de rachat anticipés car l’assureur les porte au départ pour vous. Comptez donc plutôt un rendement après frais moyen de 3,5% à 3,7%, ce qui reste très intéressant pour autant. À envisager là encore si vous avez une perspective d’investissement plutôt à long terme (8-10 ans).

Les avantages et inconvénients de l'assurance-vie

L'assurance vie présente plusieurs avantages qui en font un produit financier attractif pour de nombreux investisseurs. Voici quelques-uns des principaux avantages de l'assurance vie :

  • Protection financière : L'assurance vie offre une protection financière à vos proches en cas de décès prématuré. Les bénéficiaires désignés reçoivent le capital assuré (dans une certaine limite), ce qui peut les aider à faire face aux dépenses courantes, à rembourser des dettes, ou à maintenir leur niveau de vie. -Transmission du patrimoine : L'assurance vie facilite la transmission du patrimoine aux bénéficiaires désignés de votre choix. Elle peut aider à éviter les complications liées à la succession et à réduire les frais de succession.
  • Avantages fiscaux : L'assurance vie offre souvent des avantages fiscaux intéressants. Dans certains cas, les intérêts générés dans un contrat d'assurance vie peuvent être partiellement exonérés d'impôts, ce qui permet de maximiser les rendements de l'investissement. De plus, les sommes versées aux bénéficiaires en cas de décès peuvent également bénéficier d'avantages fiscaux, tels que des exemptions de droits de succession.
  • Flexibilité : Les polices d'assurance vie offrent souvent une grande flexibilité. Vous pouvez ajuster le montant de la couverture, modifier les bénéficiaires, et même utiliser la valeur de rachat de la police comme garantie pour un prêt.

Mais bien sûr, l'assurance vie présente également certains inconvénients qu'il est important de prendre en compte. Voici quelques-uns des inconvénients potentiels de l'assurance vie :

  • Coût des primes : Les primes d'assurance vie peuvent être coûteuses, en particulier si vous souscrivez une couverture importante ou si vous êtes considéré comme présentant un risque élevé en raison de votre âge ou de votre état de santé.
  • Rendements limités : Bien que certaines polices d'assurance vie offrent des options d'investissement, les rendements potentiels peuvent être limités par rapport à d'autres types de placements. Si votre objectif est de maximiser vos rendements, d'autres options d'investissement pourraient être plus appropriées.
  • Complexité : L'assurance vie peut être un produit complexe avec des termes et des conditions difficiles à comprendre. Il est important de bien comprendre les caractéristiques de votre police, les frais associés et les implications fiscales avant de souscrire.

Il est donc essentiel d'évaluer soigneusement les avantages et les inconvénients de l'assurance vie par rapport à votre situation personnelle et à vos objectifs financiers. Il est recommandé de consulter un conseiller financier qualifié pour obtenir des conseils adaptés à votre situation.

À qui s'adresse l'assurance-vie ?

L'assurance-vie s'adresse à un très large éventail de personnes, qu'il s'agisse de célibataires, de familles recomposées, de couples avec ou sans enfants, ou même de partenaires de Pacs. Elle est extrêmement souple, offre des avantages fiscaux importants et est accessible à tous les budgets.

Chaque profil peut trouver un produit d'assurance-vie adapté à ses besoins. Les banques et les assureurs ont développé une grande variété de produits ces dernières années. L'assurance-vie est certainement l'un des produits les plus personnalisables, permettant aux souscripteurs de choisir des secteurs d'activité, des zones géographiques ou même des critères éthiques spécifiques.

L'assurance-vie est un produit à long terme, généralement conservé pendant au moins 8 ans. Contrairement à une idée fausse répandue, l'assurance-vie n'est pas bloquée pendant toute cette période, mais il est préférable de la conserver pour bénéficier des meilleurs avantages fiscaux.

De plus, contrairement à certains autres types de placements réglementés, il est possible de détenir plusieurs contrats d'assurance-vie pour diversifier son épargne et bénéficier de différentes stratégies d'investissement.

Vous l’aurez compris, l'assurance-vie est un produit financier adapté à tous les profils d'épargnants, offrant souplesse, avantages fiscaux et la possibilité de personnaliser ses choix d'investissement. Il est important de choisir un contrat en fonction de ses besoins spécifiques et de consulter un conseiller financier pour obtenir des recommandations adaptées à sa situation personnelle.

En résumé...

Si l’assurance-vie est très utilisée pour son cadre fiscal et ses options juridiques et assurantielles, il reste encore quelques astuces dans la gestion qui peuvent améliorer le résultat final de votre choix d’investissement.

Trop souvent considéré comme un placement simple et « pépère » du fait de la concentration des avoirs sur les fonds en euro, l’assurance-vie n’a pas encore complètement réussi à s’imposer sur ce qui fait sa vraie force : son adaptabilité et son ouverture en matière de gestion financière. Certains contrats en effet, au-delà des options de gestion classiques, offrent plusieurs fonds en euro, plusieurs SCPI et plusieurs milliers d’Unités de Compte. De quoi avoir une approche diversifiée et évolutive dans le temps, seuls vecteurs de performance à long terme.

Il est évident que dans cette « jungle » de contrats et de sous-jacents à intégrer ensuite, le particulier peut se sentir un peu perdu. Alors n’hésitez pas à faire appel à un conseiller indépendant, sortant de préférence des réseaux classiques pour vous assurer une approche innovante et un grand choix d’opportunités.

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A propos de l'auteur Stéphane van Huffel, Conseiller en gestion de patrimoine | 1649 articles en ligne

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Stéphane van Huffel débute sa carrière au sein de la branche d’investissement immobilier d'un grand promoteur français dans les fonctions opérationnelles et commerciales. Il évolue ensuite, toujours au sein du même groupe, vers un poste d'encadrement puis de directeur régional où il est chargé d'animer et d'encadrer cinq cabinets en France.

Son expérience confirmée de la fiscalité et de l'immobilier l'amène à créer son propre cabinet : Wast & Van en 2005 puis fonde netinvestissement avec son associé Karl Toussaint du Wast. Il est également co-fondateur du tour de France de l’immobilier et du baromètre des placements. Stéphane intervient régulièrement en tant qu’expert auprès de nombreux média français.

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