1. Quelle place au fonds euro pour 2020
Nous l’annoncions depuis plusieurs années déjà, nous savions que c’était inéluctable et à présent ça y est, nous y sommes : la plupart des grands assureurs ont annoncé fin 2019 le plafonnement des versements sur les fonds euro. Les banques et assureurs ne peuvent en effet plus continuer ainsi à rémunérer (même à peau de chagrin) de l’argent à perte.
Aussi, les grands de la place ont, tour à tour, annoncé que les versements sur les poches de fonds euro seraient à présent plafonnés à 20/30% maximum selon les compagnies. Fini le temps du 100% fonds euro à capital garanti. Bon certes cela ne vous rapportait déjà plus grand-chose depuis quelques années, mais au moins vous aviez la garantie du capital, mais c’est terminé. On ne pourra plus avoir un contrat 100% en fonds euro. Il faut nous y habituer.
Tant mieux d’une certaine mesure car cela va amener les françaises et les français à s’intéresser davantage aux solutions alternatives qui ne sont pas nécessairement des prises de risque inconsidérés en Bourse. Il existe une myriade de solutions alternatives performantes et peu risquées. C’est ce que nous allons découvrir ensemble ici.
Sachez toutefois que si vous restez un(e) inconditionnel(le) du fonds euro il existe des contrats d’assurance-vie qui proposent des fonds euro dignes de ce nom. Certes, comme pout tous les contrats de la place à présent, on ne peut pas verser 100% dessus (35% maximum dans ce cas de figure) mais le capital et la liquidité restent garantis par l’assureur et au moins, le potentiel de gain sur ce fonds euro peut être significativement plus important que les « 1% » qui vous seront versés sinon par ailleurs. Donc en gros, soit au pire, vous faites 0% de performance, soit vous pourriez faire 4% nets de rendement comme cela a déjà été le cas dans le passé.
Ces fonds euro sont les fonds dits « nouvelle génération », vous en avez certainement déjà entendu parler mais ils prennent plus que jamais tout leur sens en ces temps ou la règle des fonds euro classiques a profondément changé.
On garde le meilleur donc mais on change ce qu’il faut à savoir la stratégie d’investissement et les sous-jacent : terminé les dettes d’état qui ne rapportent plus rien ; le gérant du fonds euro prend des positions sur les marchés qui, si elles s’avèrent payantes sont versées aux épargnants et dans le cas contraire, votre capital est garanti donc au pire, vous ferez 0% de performance sur l’année.
2. Pensez aux Fonds ISR
Les fonds ISR (investissement socialement responsable) ont pris une place de plus en plus importante au cours des dernières années dans l’écosystème de la finance française.
Cela est notamment lié à la prise de conscience de plus en plus importante des français à l’égard de sujets tels que :
- l’environnement de travail
- l’éthique
- le respect de l’environnement
- le Bio
- la cause animale etc
Cette prise de conscience arrive en même temps que le constat que nous faisons depuis 3, 4 ans de la recherche du sens dans leurs investissements de la part de nos clients netinvestisseurs.
Quitte à investir, quitte à avoir une logique de rentabilité, autant chercher à le faire bien et de façon éthique et morale.
Il se trouve que chez netinvestissement, nous défendons ces valeurs forte et que nous les appliquons en interne depuis la création de netinvestissement en 2006 : le bien être au travail et le bien être de nos collaborateurs, l’écologie et le respect de l’environnement en général, l’engagement à recycler, à moins consommer, à consommer local… En soutenant des startups locales telles que Yoyo ou Eco Megot, en privilégiant les circuits de consommables courts nous participons également à donner du sens à nos actions. L’ISR fait partie des valeurs profondes de la société c’est pourquoi nous cherchons et trouvons du sens à privilégier des fonds financiers qui eux aussi respectent ces valeurs.
Une prise de conscience
Et tant mieux si cette recherche de sens et de valeurs est rentable et performante car il se trouve que les sociétés qui sont auditées et intégrées aux fonds ISR ont actuellement le vent en poupe grâce à une prise de conscience de plus en plus importante des consommateurs, en France et en Europe notamment et des « tendances de marché » profondes et durables dont ces sociétés bénéficient.
Si nous avons fait partie des tous premiers de la profession à proposer des fonds ISR à nos clients il y a près de 10 ans déjà, aujourd’hui l’engouement est fort et les sociétés de gestion ont élargi leurs gammes, leur expertise et leur offre, ce qui nous a permis également d’affiner et d’étayer notre sélection.
A titre d’exemple, le fonds Echiquier Positive Impact que nous intégrons régulièrement dans nos allocations ISR est axé sur le bien être des collaborateurs au travail.
En 2020, vous pourriez donc tout à fait allouer 10 à 20 % (ou plus si cela correspond à votre profil de risque) de votre portefeuille sur des fonds ISR. Demandez conseil à votre conseiller financier ou votre chef de projet patrimonial netinvestissement pour vous aider à sélectionner le(s) bon(s) fonds.
3. Les produits structurés : la solution « miracle » ?
Imaginez que les marchés financiers aient tous fait -10% mais que vous perceviez tout de même 4% de rendement…
Imaginez avoir gagné 6 à 7% / an sur les trois dernières années alors même que votre capital était protégé dans la limite de -50%.
Imaginez que vous pourriez gagner 7% même si le marché sur lequel vous êtes positionné ne gagnait que 2% !!
Tout cela vous parait louche ? impossible ? absurde ?
Et pourtant, cela existe et cela s’appelle les produits structurés. Les produits structurés sont des produits financiers largement (et depuis longtemps) utilisés par les conseillers en gestion de patrimoine et bien leur en a pris car au cours des 10 dernières années, ils ont quasiment systématiquement battu le marché chaque année !!
Attention toutefois, les produits structurés sont des produits d’épargne et d’investissement qui ne garantissent pas le capital mais qui le protègent. En d’autres termes, lorsque vous investissez dans un produit structuré, vous savez très clairement dès le départ, et donc sans surprise, quels est le cadre du produit, le sous-jacent sur lequel il va être investi, le rendement annuel (appelé coupon) prévu, ainsi que la durée du structuré (généralement 10 ans maximum) ainsi que les différentes possibilités de sortie.
Pour vous donner un ordre d’idée, les bons produits structurés que vous trouverez auprès de votre conseiller patrimonial préféré auront généralement des composantes de ce type :
- une duration de 10 ans (avec sortie annuelle, voire mensuelle dans certains cas)
- une barrière de protection du capital investi à -40% ou -50% (mais il en existe avec des barrières de protection encore plus larges)
- un rendement annuel (appelé « coupon ») de 6 à 7% et dans certains cas la possibilité de vous faire verser un plus petit coupon, même en cas de marché baissier, mais dans une certaine mesure.
Le produit en lui-même est positionné sur un indice ou une action qui lui sert d’indicateur de performance.
Le conseil Netinvestissement :
Comme pour tous les placements et supports d’investissement, les structurés comportent un risque de perte en capital. ll s’agit de produits complexes, donc ne vous aventurez pas seul(e) dans les produits structurés sans vous faire accompagner par un spécialiste. Faites plutôt appel à l’expertise et aux conseils d’un spécialiste. En savoir plus sur les fonds structurés
Cela dit, et en particulier en période d’incertitudes et de manque de visibilité sur les marchés, les produits structurés offrent cet avantage non négligeable d’être lisibles, clairs et faciles à comprendre.
4. Pensez à loger de l’immobilier dans votre contrat
Certes on ne peut pas vraiment dire que c’est une nouveauté 2020 que de vous parler et de vous recommander de l’immobilier dans votre contrat, mais l’immobilier a pour cette année plus que jamais tout son sens dans l’assurance-vie.
Le marché est stable, porteur et profond, peu volatil, les rendements quant à eux sont supérieurs depuis toujours aux fonds euro et là encore, comme pour les produits structurés, l’idée ici étant de trouver des alternatives pertinentes, simples, peu risquées pour dynamiser intelligemment votre contrat.
En outre, les sous-jacent immobiliers qu’ils soient SCPI, SCP, SCI ou OPCI, reposent sur des actifs dits tangibles, c’est-à-dire palpables, concrets, que l’on peut toucher, contrairement aux produits financiers classiques qui, pour certains, sont difficiles à appréhender car justement non palpables.
Mais lorsque l’on dit qu’il faut mettre de la pierre dans son contrat, concrètement, qu’est ce que cela signifie ?
Cela signifie qu’au travers des fonds et supports immobilier éligibles à l’assurance-vie, vous allez avoir la possibilité de loger des actifs immobiliers (bureaux, entrepôts, commerces, cliniques, crèches etc) dans votre contrat. Eh oui, selon les contrats et leur ouverture au marché, il vous est possible de loger des SCPI (dans certains cas même d’avoir un contrat 100% investi en SCPI) qui sont alors considérées comme des valeurs mobilières (en d’autres termes des produits financiers) ce qui les rend liquides et donc augmente leur intérêt. En effet, contrairement à de l’immobilier classique, généralement peu liquide, les produits immobiliers logés dans les assurance-vie ont une liquidité assurée par l’assureur. Comptez une quinzaine de jours en moyenne pour récupérer vos fonds. C’est l’assureur qui fait son affaire pour revendre les titres ; il est tenu de vous restituer vos liquidités si vous en faites la demande.
A savoir :
Attention, si vous optez pour des SCPI au sein de votre contrat, sachez que le rendement versé sera grevé des frais de gestion du contrat (généralement de l’ordre de 1% environ) mais en contrepartie, vous bénéficiez donc de la liquidité assurée par la banque ou l’assureur ainsi que de la fiscalité avantageuse de l’assurance-vie, en fonction de la durée de détention du contrat.
Sachez également que tous les contrats (je pense notamment au contrat de votre banque) ne vous donnent pas forcément accès à toute l’offre du marché en termes de supports de placement en immobilier. Soyez donc vigilant(e) et patient(e) pour bien choisir le bon contrat qui correspondra à vos besoins. Mieux vaut même ouvrir un nouveau contrat dédié à ce type d’investissement si vous ne voulez pas clôturer celui que vous détiendriez éventuellement par ailleurs.
Le conseil Netinvestissement :
Si vous faites le choix de loger de l’immobilier dans votre contrat, ne prenez pas de SCPI directement ; mais des SCP ou des SCI de SCPI. Pourquoi ? c’est exactement le même principe et le même fonctionnement à trois différentes majeures près :
- Avec les SCPI vous ne percevrez que 97.5% des loyers (contre 100% en SCP de SCPI)
- Les frais d’entrée sont significativement plus élevés dans le premier cas que le second (6% en moyenne pour les SCPI contre 2% pour les SCP ou SCI)
- Quitte à adopter une logique immobilière, autant pousser la logique de la diversification. Les SCP ou SCI de SCPI ont en leur sein déjà une vingtaine de SCPI distinctes ce qui leur donner une diversification de fait.
5. Avez-vous pensé à la clause bénéficiaire ?
Vous avez peut-être une (ou plusieurs) assurance-vie que vous avez ouverte il y a quelques années. Au moment de la souscription, l’on vous a demandé de définir et de préciser la clause bénéficiaire, généralement alors le souscripteur met son conjoint marié, les enfants nés ou à naître etc… bref, la clause dite « classique ».
Seulement voilà, entre temps votre situation a peut-être changé, vous avez peut-être divorcé (ou au contraire vous êtes marié), avez eu des enfants d’un second lit, vous avez changé de maîtresse… en d’autres termes, votre vie évolue, change et forcément, vos volontés de protéger telle ou telle personne peut également évoluer dans le temps.
Pensez donc à régulièrement revérifier la pertinence de votre clause bénéficiaire. Si elle peut en effet être librement modifiée à tout moment, en revanche, en cas de décès, c’est la clause actuellement en place qui prévaudra.
Pour vérifier ce que vous aviez indiqué « à l’époque », rien de plus simple, contactez votre conseiller financier, votre banquier ou votre chef de projet patrimonial netinvestissement afin qu’il vous aide à la mettre à jour si nécessaire.
6. Le monde change, les stratégies de gestion des fonds aussi
Pendant longtemps, le marché des fonds financiers (OPCVM) nous laissait le choix parmi une myriade d’unités de compte réparties selon quelques grandes familles : les fonds actions, les fonds obligataires etc… puis, plus récemment avec l’évolution des marchés, des nouvelles tendances de consommation, des nouvelles attentes et besoins des consommateurs, de nouveaux types de fonds ont vu le jour. Il existe aujourd’hui par exemple des fonds uniquement spécialisés dans l’investissement et la prise de participation au capital de sociétés dites « disruptives », c’est-à-dire qui font évoluer les pratiques dans leur secteur. Le fond Vega Disruption par exemple est un parfait exemple de ces nouveaux types de fonds et de gestion.
Autre exemple : le fond DPAM new Gems qui, comme son nom l’indique, tend à investir dans les pépites de demain ; c’est-à-dire non pas dans de « vieilles » sociétés, mais dans des startups ultra prometteuses, évoluant sur des marchés nouveaux, en pleine mutation ou en création : l’intelligence artificielle, les neurosciences, la nanotechnologie, le deep learning etc…
7. Les fonds thématiques
Dans la continuité du point précédent, les fonds thématiques sont également ces nouveaux types de fonds qui ont fait leur apparition et qui se sont démocratisées récemment. Là encore, il ne s’agit plus d’investir dans un fonds par taille de capitalisation boursière ou de zone géographique, mais plutôt de le faire par conviction de marché, donc via de grandes thématiques. Nos secteurs de prédilection pour 2020 : l’eau, le big data, la sécurité informatique, l’intelligence artificielle.
L’idée ici étant de se positionner sur des secteurs ultra porteurs, d’avenir ou en devenir et de profiter des formidables croissances potentielles que ces nouveaux marchés devraient connaitre au cours des prochaines années. Ici ce n’est ni la taille de l’entreprise ni sa zone géographique qui est déterminante, mais son expertise et la profondeur du marché sur lequel elle évolue.
RAPPEL : pour bien gérer votre assurance-vie et lui donner les meilleures chances de performer dans le temps, n’oubliez pas qu’un bon contrat doit être suivi et donc arbitrer. Les supports qui le composaient il y a 6 ans ne devraient (en principe) plus être les mêmes qu’aujourd’hui. La conjoncture a évolué, les cycles et les marchés également ; votre assurance-vie, si elle est effectivement gérée et suivie, doit donc évoluer au gré de ces évolutions de marché. C’est ce que nous faisons pour nos clients chaque année.
8. Le mode de gestion
Pour faire simple, il existe deux grandes options de gestion pour votre assurance-vie.
La gestion « libre »
La gestion dite « libre ». Elle est moins chargée en frais de gestion (forcément) et sous-entend que c’est vous (ou un professionnel du conseil financier habilité) qui gérez votre contrat directement.
Cette notion de gestion libre telle que vous l’entendez peut-être est vraie si vous avez ouvert, par vous-même, seul(e) un contrat en ligne et que vous le gérez effectivement vous-même, que vous effectuez vous-même les arbitrages etc...
Toutefois, ce mode de gestion est également utilisé par certains CGP, les conseillers en gestion de patrimoine qui, sans pour autant vous «prendre » davantage de frais font leur travail de suivi et de conseil sur votre contrat, sans pour autant avoir le droit d’agir directement sans votre validation sur votre contrat.
C’est par exemple le cas chez netinvestissement. Alors même que nous allons nous charger de suivre, de gérer et d’arbitrer (après votre validation par signature) votre contrat sans pour autant vous facturer de frais supplémentaires pour ce faire.
Pour quelle raison ? tout simplement parce que c’est notre métier, que nous sommes déjà rémunérés pour cela (au travers d’une rétrocession des frais de gestion par la compagnie d’assurance pour notre travail) et que nous considérons malhonnête que de facturer des frais en plus pour une prestation que nous sommes déjà tenus d’effectuer pour nos netinvestisseurs.
La gestion « déléguée » ou « gestion sous mandat »
Le second grand type de gestion s’appelle « gestion déléguée » ou encore « gestion sous mandat ». Comme son nom l’indique, il s’agit là de déléguer la gestion de votre contrat à un professionnel. Pour cela, vous lui donnerez pouvoir au travers d’un mandat de gestion pour effectuer directement, et pour votre compte, des opération d’arbitrage, de suivi etc..
Dans quel cas la gestion déléguée a-t-elle du sens ? si vous avez des sommes supérieures à 1.000.000 € investies sur un (ou plusieurs) contrat ou si vous êtes souvent en déplacement, notamment à l’étranger ou tellement affairé(e) professionnellement que vous n’avez pas le temps de vous suivre l’actualité ni même le temps de signer un bordereau d’arbitrage, alors oui, dans ce cas, le choix de la gestion déléguée ou mandat de gestion a du sens et est, voire même, largement recommandée.
Ce choix permet ainsi au professionnel que vous aurez mandaté d’avoir la main sur votre contrat et donc de pouvoir effectuer, pour votre compte, des arbitrages sans votre signature (ce qui n’est pas le cas en gestion libre ou tout arbitrage doit préalablement être soumis à votre signature pour être validé).
Le conseil Netinvestissement évitez les mandats de gestion ou la gestion déléguée dans un réseau qui ne vous proposera dans le contrat que (ou presque que) des fonds « maison ». Un contrat délégué en gestion ne doit pas moins en rester objectif et pertinent pour vos intérêts et non pas pour l’établissement qui le gère. Les supports et fonds sélectionnés doivent donc être en rapport et en cohérence avec votre profil de risque et défendre en priorité vos intérêts. Pour cela, je ne saurai trop vous recommander que d’opter pour un professionnel indépendant (c’est-à-dire non rattaché à une enseigne).Le conseil Netinvestissement :
Evitez les mandats de gestion ou la gestion déléguée dans un réseau qui ne vous proposera dans le contrat que (ou presque que) des fonds « maison ». Un contrat délégué en gestion ne doit pas moins en rester objectif et pertinent pour vos intérêts et non pas pour l’établissement qui le gère.
Les supports et fonds sélectionnés doivent donc être en rapport et en cohérence avec votre profil de risque et défendre en priorité vos intérêts. Pour cela, je ne saurai trop vous recommander que d’opter pour un professionnel indépendant (c’est-à-dire non rattaché à une enseigne).
Conclusion
Heureusement pour vous, l’année 2020, comme 2019, nous offre encore de superbes opportunités et alternatives pour dynamiser, doper, actualiser et faire évoluer votre contrat d’assurance-vie. Comme j’aime à le dire : » Ce ne sont pas les opportunités qui manquent. Ce qui manque c’est la vision. » Aussi, j’espère que grâce à ce guide, vous aurez à présent une meilleure vision des bons conseils à suivre pour bien investir en 2020 au travers de votre assurance-vie. Nos chefs de projet se tiennent à votre disposition pour vous aider, vous conseiller et vous accompagner pour faire de 2020… l’année du divin
C'est simple comme 1,2,3
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